À partir de 9,90 €
21,00 €
À partir de 4,99 €
À partir de 4,99 €
À partir de 4,99 €
À partir de 4,99 €
À partir de 4,99 €
À partir de 4,99 €
À partir de 4,99 €
À partir de 4,99 €
À partir de 4,99 €
À partir de 4,99 €
Maison d'édition : Éditions AO - André Odemard.
Abel Séverac est commissaire de police. De sa carrière à la Crim’ parisienne, on ne connaîtra que la fin : un substitut refuse d’admettre les conclusions d’une enquête qui dérange et exige qu’il s’en tienne à la version initiale, propagée par le parquet. Éméché, Séverac calotte l’emmerdeur. Il est muté à Lyon, où il devient patron du groupe criminel.
Séverac est un cavaleur. Mais il est aussi marié, et l’une de ses dernières aventures parisiennes lui a valu une demande de divorce de la part de son épouse, qui l’a foutu à la porte du domicile conjugal. L’exil lyonnais est donc vécu comme une double peine, sentimentale et professionnelle. Abel laisse à Paris trois enfants qu’il adore et une femme qu’il continue d’aimer, bien qu’il l’ait trompée honteusement.
Ses deux autres passions sont la cuisine (la faire et la manger) et la 750 Ducati Sport dont il possède un modèle vintage en parfait état.
Son intégration à la vie lyonnaise ne va pas sans difficultés : le Lyonnais n’est pas très accueillant, surtout vis-à-vis des Parisiens ! Mais il va faire peu à peu son trou, intronisé par une confrérie beaujolaise et une journaliste beaucoup plus jeune que lui mais très éclectique…
La série, selon l'auteur :
« Les enquêtes du commissaire Séverac vous font découvrir la capitale des Gaules au fil d’intrigues qui s’entrecroisent et rebondissent au travers des rues et des quartiers, des places et des traboules. S’appuyant sur une équipe disparate et attachante, ce flic fantasque traque l’assassin comme d’autres le lièvre ou le gardon. “Là où Séverac passe, le crime trépasse !” a-t-on coutume de dire à la PJ lyonnaise. Notre truculent policier n’hésite jamais à faire escale dans un bistro pas toujours bien famé, et lorsque la faim l’habite, il s’échoue dans un bouchon. Il y déguste sans chichis inutiles les spécialités riches en calories qu’il élimine avec force pots de rouge ou de blanc, parfois même de rosé quand la pépie le tient. Séducteur insatiable, il succombe aussi souvent que possible aux chants des sirènes qui, comme on ne le sait pas suffisamment, sont nombreuses entre Rhône et Saône ! »